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     Au détour d'une rue... 

     

    Je l'achèterais Dimanche si Samedi...

     

     


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     Le site sacré reprend ses droits

     

      Uluru, le plus célèbre rocher d'Australie, désormais fermé aux grimpeurs

     

        

    Je vous l'annonçais le 9 juillet dernier

    Uluru, célèbre formation rocheuse au coeur du désert australien, a été définitivement fermé vendredi soir aux grimpeurs, après un afflux de touristes durant toute la journée pour tenter une dernière fois l'ascension de ce rocher considéré comme sacré dans la culture aborigène.

     

    Des touristes font l'ascension du rocher d'Uluru une dernière fois avant son interdiction, le 25 octobre 2019.

     

    Au coucher du soleil, après la descente des derniers touristes, les gardes ont définitivement refermé les portes d'accès au monolithe géant aux teintes rouges. Haut de 348 mètres et également connu sous le nom d'Ayers Rock, il avait été ouvert aux touristes dans les années 1950.

    L'interdiction avait été décidée en 2017 par les propriétaires du site, les aborigènes Anangu, qui vénèrent le lieu depuis des dizaines de milliers d'années. Avant cette décision, des panneaux avaient déjà été installés pour inciter les visiteurs à ne pas entreprendre l'escalade d'Uluru, mais ceux-ci n'y prêtaient pas attention.

     

    Ces derniers mois, une vague de touristes désireux de se retrouver en haut d'Uluru avant l'entrée en vigueur de l'interdiction a déferlé sur le site.

    Vendredi matin, des centaines de personnes ont attendu pendant des heures l'autorisation d'entamer la montée, interdite jusqu'en milieu de matinée en raison de vents violents.

     

    Il faut quand même rappeler que s'attaquer aux pentes d'Uluru n'était pas chose aisée et au moins 35 personnes sont mortes lors de son ascension depuis son ouverture aux touristes. L'été, les températures peuvent y atteindre 45 degrés.

       

     

    Les touristes seront toujours autorisés à visiter le parc national d'Uluru-Kata Tjuta dans lequel ils peuvent se promener ou découvrir le patrimoine indigène.

    C'est ce que j'ai fait en juillet dernier, et ce fut très intéressant !

     

     

         On se sent tout petit...  

     


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    Ca se passait à Agadir en septembre dernier... mais ça peut se passer n'importe où au Maroc...

     

     


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