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    Un paquebot dans la tourmente

     

      

    Ce soir, sur M6, une émission consacrée à la croisière du paquebot "Magnifica". Parti le 06 janvier dernier de Marseille, pour un tour du monde de 4 mois, ce bateau de croisière n'a pas échappé aux méandres de l'épidémie du Covid-19.

     

     

    Un paquebot dans la tourmente

     

          

    Le programme de ce tour du monde : 116 nuits de navigation, à la découverte de 43 destinations, à travers 23 pays.

    Après une dernière escale commerciale le 10 mars en Nouvelle-Zélande, le paquebot avait fait route vers l'Europe, n'effectuant que des escales techniques ou d'approvisionnement dans les ports australiens, à Sydney ou Melbourne. Aucun croisiériste n'était autorisé à quitter le bateau.

    Deux épisodes de 90mn : le 1er ce soir à 21H, le second dimanche prochain (le 21/06), même heure.

    Un couple d'amis séjournait sur le "Magnifica" ; aussi, je vais suivre assidûment ce programme. 

     

    Bonne soirée à vous !


    8 commentaires
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    Salam tout le monde les gens !

     

    Je viens vous faire un petit coucou vite fait ! Et vous souhaite, par la même occasion de joyeuses fêtes de Pâques (même si c'est plus tard, on s'en fiche...) 

     

     

    Un petit coucou de mon lieu de confinement !!!

     

     

    Au bled, tout va bien. Aucun cas de Coronavirus décelé à Ouarzazate...

    J'espère que vous vous portez bien !!!

     

     


    6 commentaires
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    Décès de Jean Rochefort

     

    Jean Rochefort

     

    C'était un acteur "grand seigneur" que j'aimais bien...

     

    Décédé dans la nuit à 87 ans, Jean Rochefort a traversé les époques, alternant nanars et chefs-d'œuvre, sans jamais perdre son élégance.

    Il avait ce côté aristocrate qui imposait le respect et charmait l'esprit. Un rien cabot, toujours malicieux, le verbe haut, le propos parfois égrillard et un look british légèrement désuet... Jean Rochefort a traversé les époques avec élégance et panache, en aimant les bons mots, l'amour et les chevaux, tel un seigneur du XVIIIe siècle. Et une certaine ironie affichée, comme pour garder cette âme d'enfant qu'il n'a jamais voulu perdre dans les méandres du métier. Et cacher une mélancolie dont il ne parviendra jamais à guérir tout à fait. La dérision comme art de vivre, en quelque sorte.


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